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Nouvelle pièce en Préparation

Publié le par NAYA

Le Duo DOM TOM de Jean-Paul Alègre

La pièce transporte les spectateurs dans l’envers du décor, dans l’intimité des comédiens avant que ne se lève le rideau. Tel est l’univers que Jean-Paul ALEGRE nous propose de découvrir dans ce Duo Dom Tom.

Cette fois, il se concentre sur deux comédiens en fin de parcours qui ont bien du mal à faire entendre leur voix. Cette pièce est une sorte d’hommage aux intermittents du spectacle, à ceux qui continuent à se battre pour que des vivants parlent à des vivants.

« Il y a dans ce duo d’acteurs au crépuscule de leur gloire quelque chose qui force l’admiration, une étincelle de vie qui pousse à l’envie de continuer ce métier encore, en dépit du bon sens, entre tendresse et fureur, désillusion et espoir…

Passer de la craie colorée sur un tableau noir, même si ça s’efface, encore et encore, c’est cela, l’écriture de Jean-Paul Alègre. » Sandrine Joly, metteur en scène de la compagnie Le Vestibule.

L'ancien champion de pelote basque, Jean-Paul Alègre s'est tout naturellement doté d'une stature de recordman dans la compétition théâtrale. Il détient, depuis des années, le titre d'auteur le plus joué par les compagnies amateurs françaises, devant Molière et Goldoni. Alègre plaît, touche, séduit par sa sincérité et l'amour qu'il porte aux gens et genres rencontrés sur son chemin. Il est aujourd'hui président des EAT (Écrivains associés du théâtre), non pas pour cet exercice du pouvoir qui le retarde fâcheusement dans l'écriture de ses nouvelles pièces mais par passion d'une juste cause, la défense des auteurs contemporains si mal aimés en notre siècle.  Il aime les gens, il aime les genres, disions-nous. En effet, ses pièces historiques ou sociales sont pétries d'humanité.  (Yves Brette)

L'ancien champion de pelote basque, Jean-Paul Alègre s'est tout naturellement doté d'une stature de recordman dans la compétition théâtrale. Il détient, depuis des années, le titre d'auteur le plus joué par les compagnies amateurs françaises, devant Molière et Goldoni. Alègre plaît, touche, séduit par sa sincérité et l'amour qu'il porte aux gens et genres rencontrés sur son chemin. Il est aujourd'hui président des EAT (Écrivains associés du théâtre), non pas pour cet exercice du pouvoir qui le retarde fâcheusement dans l'écriture de ses nouvelles pièces mais par passion d'une juste cause, la défense des auteurs contemporains si mal aimés en notre siècle. Il aime les gens, il aime les genres, disions-nous. En effet, ses pièces historiques ou sociales sont pétries d'humanité. (Yves Brette)

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